Bonjour Fenix,
j'en suis à la même réflexion que vous, quoi qu'un peu plus avancée.
Je vais personnellement opter pour une solution à base d'optimiseurs de puissance (1 pour 2 panneaux), avec un onduleur central.
Cela permet, sur la durée de vie de l'installation, de pouvoir "monitorer" son installation et donc de connaitre un peu sa production. Dans mon cas, j'ai un toit avec peu de pente, ce qui fait que lorsque la neige fond en hiver, même si on ne produit pas beaucoup à cette saison, elle met du temps à s'évacuer et sans optimiseur, si un seul panneau est couvert de neige, c'est toute l'installation qui ne produit plus rien.
Enfin, pour la surface à installer, le mieux est d'utiliser le site
http://www.uvek-gis.admin.ch/BFE/sonnendach/?lang=fr, afin d'estimer la durée d'amortissement en fonction du coût réel de votre installation (selon offre). En effet, j'envisage plus de 100m2, soit près de 23KWc, alors que ma conso annuelle n'est que de 10'000Kwh environ (PAC, ECS et électricité du ménage). Mais il faut penser que l'installateur a des coûts fixes, qui ne changent quasiment pas si la taille de l'installation varie (transport, échafaudage, déplacements, etc.). Par contre, de l'autre côté, vous avez la subvention qui augmente (et la déduction aux impôts), mais également la production. Et comme le prix de vente risque de se maintenir à un niveau toujours plus élevé, vous aurez un revenu plus important qu'avec une surface moindre.
Dans mon cas, pour environ 38'000.- pour 106m2, cela devrait être amorti en moins de 6 ans. Ensuite, aux coûts actuels de l'électricité, gain de plus de 4'000.- par année (entre économie par consommation propre et revente), ceci sur encore une vingtaine d'année j'espère. Et c'est, dans mon cas, sans compter que je peux revendre une partie de ma production directement à mes locataires au lieu du fournisseur, donc en théorie, un amortissement encore plus court.
Voilà pour la réflexion que je me suis faite, si cela peut vous guider dans vos choix.
Cordialement